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L’ahidous est une danse traditionnelle pratiquée par les tribus berbères du Moyen Atlas au Maroc, dans laquelle hommes et femmes, coude à coude, forment des rondes souples et ondulantes, accompagnées de chants (en berbère izli, izlan) rythmés par le bendir.L'ahidous est connu pour être le divertissement préféré des Amazighs du Maroc central et leur moyen d'expression le plus complet et le plus vivant. On le danse à l'occasion des moindres fêtes et même, l'été, après la moisson, presque tous les soirs dans les villages.Les danseurs se mettent en cercle, en demi-cercle, ou sur deux rangs se faisant face, hommes seuls, femmes seules, ou, hommes et femmes alternés, étroitement serrés, épaule contre épaule, ils forment bloc. La danse est rythmée au tambourin et par des battements de mains. Les mouvements sont collectifs ; c'est un piétinement, un tremblement qui se propage, entrecoupé d'ondulations larges, coups de vent sur les blés. Par leur aisance et leur ensemble, ils témoignent d'un sens du rythme remarquable. Toutefois, tous faisant presque toujours le même geste en même temps, c'est surtout un ensemble de juxtaposition que l'ahidous présente. En ce sens, il est très caractéristique de la mentalité des Amazighs. L'ahwach dansé par les Chleuhs de l'Atlas occidental est déjà fort différent.

CULTURE

INSPIRATION

Le thé à la menthe (en arabe, شاي بالنعناع, ') est la boisson traditionnelle des pays du Maghreb. Le thé est obtenu grâce à l'infusion de feuilles de thé vert (de type gunpowder) et de menthe, accompagnée de beaucoup de sucre. Il est servi très chaud.

 

- Voici le vrai procédé qu'utilisent les Berbères pour leur Thé à la Menthe :

Ingrédients : 75cl d'eau, 2 cuillères de thé vert de type gunpowder, 1 botte de menthe fraiche, 14 morceaux de sucre (90)g .

 

La culture berbère est essentiellement orale :

Les Berbères s'appellent eux mêmes "Amazigh", hommes, hommes libres, et c'est le même mot, au féminin, le tamazight, qui désigne la langue. La culture berbère se définit d'abord par sa langue, même si aujourd'hui, on peut encore être berbère en n'étant plus qu'arabophone. (Et les mouvements amazigh se sont fédérés autour de la défense de la langue. L'enseignement ou pas, la transcription dans un système de caractères ou un autre portent en même temps des enjeux politiques).

Cette langue a un alphabet, le Tifinagh, qui était tombé dans l'oubli et jusqu'aux années 60, n'était plus utilisé que dans sa version archaïque, par les Touaregs. Après l'indépendance, le système de transcription en caractères latins a été abandonné, et l'IRCAM a mis en place un tifinagh moderne, qui est aujourd'hui utilisé au Maroc.

Mais la culture berbère, pendant des siècles, a été une culture d'oralité, celle des histoires que l'on échange quand on se retrouve à l'oasis, celles des contes à la veillée du feu de camps, des proverbes, et des chansons de marche, pendant les longues traversées du désert. Et cet amour du verbe se retrouve dans les chants, souvent brodés et modifiés autour d'une trame existante, en fonction de l'assistance, en fonction de ce qui se passe au village... tout comme les chants des femmes, ceux qui rythment les travaux des chants, les tours innombrables de la meule pour préparer la farine du couscous,

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EXPOSITION RADIO D'AHERMOUMOU

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Après la création de l’Institut Royal de la Culture Amazighe en 2001, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a évoqué, dans son discours du 9 mars 2011 : «La pluralité de l’identité marocaine unie et riche de la diversité de ses affluents, et au cœur de laquelle figure l’amazighité, patrimoine commun de tous les Marocains».

La nouvelle Constitution marocaine, adoptée en juillet 2011, officialise la langue amazighe.

C’est dans ce contexte que le Jardin Majorelle concrétise son projet longuement mûri et ouvre son musée berbère. Installé dans l’atelier conçu par Paul Sinoir en 1931 pour Jacques Majorelle, la collection personnelle de Pierre Bergé et Yves Saint Laurent y est présentée au public.

« Depuis mon arrivée à Marrakech en 1966, je n’ai cessé d’être fasciné par la culture et l’art berbères. Au cours des années, j’ai collectionné, admiré cet art qui s’étend sur plusieurs pays à la fois. À juste titre, les Berbères ont toujours été fiers de leur culture qu’ils n’ont cessé de revendiquer malgré les vicissitudes qu’ils rencontraient. À Marrakech, pays berbère, dans le Jardin Majorelle créé par un artiste qui a peint tant de scènes, d’hommes et de femmes berbères, c’est naturellement que l’idée de ce Musée s’est imposée. »  Pierre Bergé Les Imazighen (singulier Amazigh) ou Berbères sont les habitants de l’Afrique du Nord dont ils forment le fondement. Objet de mythes, de légendes et d’histoires, leur origine remonte aux Proto-méditerranéens d’il y a plus de 9000 ans. Ce qui fait leur unité, c’est avant tout leur langue et leur diversité culturelle, qu’ils ont entretenues, à l’image de leur terre, à la fois africaine et méditerranéenne.

Femme berbère, 1921
Jacques Majorelle

Introduction à la culture berbère

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Véritable creuset de l’histoire et de la culture du pays, la langue berbère, langue afro-asiatique, a survécu à bien des langues antiques comme le grec, le phénicien, le latin ou l’égyptien. Autrefois écrite, elle est aujourd’hui essentiellement de tradition orale. Elle a fait jusqu’à maintenant l’objet d’une forte érosion mais elle est encore parlée par une bonne partie des Marocains. Véritable signe d’identité, elle cristallise les revendications et déchaîne les passions. La reconnaissance récente de la berbérité du pays semble augurer de la volonté de sa préservation pour les générations futures, y compris son alphabet dit tifinagh, plusieurs fois millénaire.

L’exposition s’articule autour de trois sections :  (1) les savoir-faire matériels et immatériels qui transforment divers matériaux en objets et ustensiles usuels ou cérémoniaux ; (2) les parures qui présentent une collection de bijoux illustrant les croyances et les savoirs accumulés depuis des millénaires ; (3) l’apparat que donnent à voir les costumes, les armes, les tissages, les portes décorées des demeures. Les objets invitent au voyage à travers l’art berbère des régions rurales du Maroc. Ils témoignent de la riche diversité et de la créativité de cette culture.

Alphabet officiel de l'amazighe du Maroc

TAZMAMART "cellule 10" AHMED Marzouki EN VERSION *ARAB*

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Avlyas

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Ce recueil de poésie publié par l’Institut Royal de la Culture Amazighe rassemble 39 poèmes de l’aède amazighe Lhoussain Ouârfa (région d’Azrou – Moyen Atlas), transcrits (en caractères tifinaghe et latin) et supervisés par M. Lahbib Fouad, du Centre des Expressions Artistiques, des Etudes Littéraires et de la Production Audiovisuelle. Il s’agit de poèmes « classiques », du genre tamdyazt, qui traitent de thématiques variées : faits historiques, valeurs sociales, identité, patrie…
Cet ouvrage constitue une contribution à la sauvegarde du patrimoine littéraire oral amazighe.

La prison de Tazmamart, située au Sud-Est du Maroc dans l'Atlas, fut construite secrètement en 1972 pour y détenir les opposants au régime du défunt roi Hassan II.

 

Après l'échec de plusieurs tentatives contre le roi Hassan II, surtout celle, la plus menaçante, de général Oufkir, 58 officiers de l'armée ont été détenus à Tazmamart. 28 seulement en sont sortis vivants 18 ans plus tard grâce à la pression de groupes internationaux, notamment celle des organisations de défense des Droits de l'Homme. Ahmed Marzouki fut l'un de ces 28 personnes qui ont pu échappé à la mort par miracle.

Ahmed Marzouki raconte avec une grande précision les jours (6 550 jours précis) qu'il a passé à Tazmamart dans une cellule de béton, 3 mètres de long sur 2,5 de large, avec un trou d'évacuation et 17 orifices dans le mur pour ne pas étouffer dans l'obscurité totale.

32 tombes ont été découvertes à l'intérieur du bagne de Tazmamart par l'instance équité et justice (IER) qui a été créée par le roi Mohammed VI en 2003 spécialement pour mettre en évidence les graves atteintes aux droits de l'homme entre 1960 et 1999.

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